Le conseil sournois

Le contexte juif du Nouveau Testament

  • Un parallèle malheureux

    Il est important de comprendre que dans le Nouveau Testament, Balaam avait la réputation d'être un faux prophète et un malheureux exemple de quelqu'un qui est passé de la vérité à l'avidité. Ainsi, lorsque Pierre accuse les faux prophètes d'être avides, il illustre cette accusation avec un équivalent de l'Ancien Testament : Balaam (2 Pierre 2:15-16). On retrouve ce parallèle dans l'Épître de Jude, où il dit que les faux prophètes « se sont jetés pour un salaire dans l'égarement de Balaam ». 
     

    Le conseil diabolique

    Dans l'Apocalypse, on condamne cependant sévèrement l'avidité de Balaam, ainsi que « la doctrine de Balaam ». Mais qu'enseignait-il ? Le livre des Nombres (31:16) nous donne un petit indice en disant qu’il a conseillé (peut-être le roi Balak) sur la façon d’entraîner les enfants d'Israël à l'infidélité envers l'Éternel en les incitant à la débauche et à l'idolâtrie. Les Israélites ont donc commis des fautes après avoir été dupés, « et alors éclata la plaie dans l'assemblée de l'Éternel » (c'est-à-dire le peuple d’Israël). 
         

    Creusez en profondeur pour découvrir les sens cachés dans la Bible

    Les conseils malveillants de Balaam amenèrent les enfants d'Israël à se tourner vers l'idolâtrie et l'immoralité. L'accusation de Jésus était que, tels les Israélites, l'Église a été détournée par les « gens attachés à la doctrine de Balaam ». Si vous ne lisez pas le Nouveau Testament dans son contexte juif, vous perdez une grande partie de son sens. Inscrivez-vous à notre cours « Le contexte juif du Nouveau Testament » afin de découvrir les sens cachés des paroles de Jésus.

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